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Voilà ci-dessous la réponse de Postfinance par rapport à ma question sur le règlement de dépôt relatif aux valeurs étrangères… ça fait réfléchir, même si j’ai des doutes que le scénario exposé ci-dessous s’applique un jour à des valeurs américaines. Par contre cela signifierait quand même que les titres US sont traités selon la loi américaine en cas de faillite, et il ne me semble pas que dans ce pays les titres sont la propriété de déposant, comme en Suisse. Je vais me faire confirmer cela par Postfinance et leur demander du coup avec quel(s) intermédiaire(s) américains ils traitent. C’est quand même incroyable, on croit placer notre argent en Suisse et en fait il est à l’étranger, soumis à des lois différentes, et on ne sait même pas chez qui… je trouve cela lamentable et cela prouve bien que le milieu financier malgré tout ce qui s’est passé se fout toujours éperdument de ses clients… A noter que cette règle n’est pas propre à Postfinance. La BCV avec qui ils collaborent mais aussi la Banque Migros et Strateo appliquent cette règle. Je pense que s’il l’on fouille un peu, toutes les banques du pays font de même…
« En cas de faillite d’un sous-dépositaire (« un intermédiaire »), la banque va faire valoir son droit à la restitution des titres pour le client auprès de l’administration de liquidation de la banque en faillite. Pour expliquer la signification de l’art. 1.4, il me paraît judicieux de faire une démonstration à l’aide d’un cas illustratif : Cette disposition vise par exemple le cas où le client a acheté des actions d’une société brésilienne (à titre d’exemple) et les détient dans son dépôt. Soudainement, les autorités brésiliennes décident (changement réglementaire) de ne plus autoriser la sortie des actions de ses sociétés nationales (ce qui est hors du pouvoir de la BCV et de son sous-dépositaire auquel elle a dû recourir pour le dépôt des titres brésiliens puisque la BCV ne peut les garder elle-même ). Dans ce cas, le client s’il veut vendre ses titres brésiliens, avec l’aide de sa banque, la BCV attire, moyennant cet article 1.4., l’attention du client sur le fait, que les titres, respectivement même le produit de vente des titres, peuvent être difficilement (limite maximale mensuelle par exemple) voire pour le moment pas du tout (en fonction des exigences réglementaires du marché brésilien) être vendues en dehors du Brésil et que dès lors la BCV ne peut donner ou que partiellement donner suite à l’ordre de vente du client. Dans tous les cas, les droits du client demeurent (droit à la remise des titres ou le paiement correspond, si ce droit existe et qu’il est transmissible), mais sont momentanément suspendus.. La banque dépositaire (donc la BCV) ne peut céder plus de droits qu’elle en a et elle n’assume pas une responsabilité ni pour les émetteurs ni pour les autorités étatiques où un investisseur souhaite investir.
Ce qu’il faut retenir, c’est que l’investissement dans des valeurs reste un risque, puisque l’émetteur (la société des titres achetés par un investisseur) peut faire faillite (perte de la valeur), les autorités du pays de la société émettrice peuvent décider de nationaliser une société (perte probable de la valeur) ou décider de ne plus accepter des sorties de fonds de leur pays (intégrale/partielle) pendant une certaine durée (crise économique, guerre, etc). »Sehr interessantes Beispiel, allerdings stellt sich diese Problematik nur bei Nicht-US-Wertpapieren, da die Erstattung der zusätzlichen US-Quellensteuer bei der Besteuerung direkt an die Steuerverwaltung erfolgt. Auch hier sind US-Dividenden interessanter …
Und Sie haben Recht, diese Art von Bankdienstleistungen sind überteuert... Ich habe bei mehreren Banken Steuerauszüge angefordert und es beläuft sich auf mehrere Hundert Franken. Irgendetwas.curieux d’entendre leur réponse
Ich habe nie wirklich über diese Unterschiede zwischen den Ländern nachgedacht, aber ich habe es immer mehr oder weniger so verstanden:
– Ein Teil, im Allgemeinen etwa die Hälfte, betrifft den Teil der Schweizer Steuer, der deklariert werden muss, wenn man den Betrag zurückfordern möchte (der von der nächsten Steuerrechnung abgezogen wird). Im Gegenzug wird dieser Betrag wie bei einem Schweizer Wertpapier als Einkommen berücksichtigt.
– Ein weiterer Teil betrifft die Steuer, die an das Land des betreffenden Titels geht und nicht zurückerstattet werden kann. Dieser Betrag muss allerdings gegenüber der Schweizer Steuerbehörde deklariert werden, um eine Besteuerung dieses Anteils zu vermeiden.
So verstehe ich das. Ich habe nie versucht, tiefer in die Materie einzusteigen, weil ich die Grundlagen der Dividende für wichtiger halte als die steuerlichen Aspekte. Wenn Experten auf diesem Gebiet über Informationen zu diesem Thema verfügen, sind sie herzlich willkommen.Je comprends le problème parce que j’y ai été aussi confronté. Au début on se fixe sur ces frais de courtage, avec de bonnes raisons. Puis le portefeuille grandit et un jour on se retrouve avec peu de transactions (si on est buy&hold) et des frais de dépôt qui bouffent une partie des revenus de dividendes. Ce qui est insupportable. Alors on est bloqué, avec cette ponction injuste, même sans rien faire, et des frais de courtage peu élevés mais qui vous font une belle jambe. Alors, quand vos pensez à transférer vos titres vers un autre prestataire, vous vous rendez compte que c’est un véritable vol organisé pour chaque position que vous possédez. Et bien sûr plus les frais de courtage sont bas, plus vous avez de positions…
Ils sont pas cons l’équipe. Ils savent qu’avec des frais de courtage bon marché ils vous attirent comme des rats avec du fromage au fond d’une cage.J’ai contacté Postfinance pour avoir plus de renseignements par rapport au point du règlement de dépôt relatif aux valeurs étrangères, que toutes les banques semblent appliquer maintenant. Je vous redis dès que j’ai du neuf.
Concernant Interactive Brokers, j’ai regardé un peu leur offre et je remarque des frais cachés : s’il n’y a pas de transaction pendant un mois ils facturent USD 10 par mois… de plus ils facturent encore une taxe par marché auquel on est inscrit. Rien que pour les US c’est USD 10 par mois si les transactions sont inférieures à 30 USD. A chaque autre marché, c’est une autre taxe et pour certains c’est pas donné.
Bref, vraiment pas très cool pour des investisseurs buy&hold… Cela me refroidit passablement je dois dire.
Encore une fois, et je me répète, il ne faut pas se focaliser sur les frais de transaction, surtout si on investit à long terme. Il y a plein de frais cachés, comme les frais de dépôt, les taxes punitives pour les traders peu actifs et le paiement à la carte d’accès aux marchés, même de base.Ja, genau das mache ich seit vielen Jahren und es funktioniert sehr gut. Eine Steuerbescheinigung ist nicht erforderlich, der Depotauszug zum 31.12. und Belege für Kupons/Dividenden sind ausreichend. Hatte nie Probleme mit dem Finanzamt. Und dann dauert es im ersten Jahr seine Zeit, die Wertpapiere in die Software der Steuerbehörden einzugeben. Da wir die Daten aber für das folgende Jahr wiederverwenden können, müssen nur die Portfolioänderungen eingegeben werden (und die sind meiner Meinung nach sehr gering). Bitte beachten Sie, dass beispielsweise bei VStax die erhaltenen Dividenden und der Wert zum 31. Dezember jedes Wertpapiers für die überwiegende Mehrheit der Wertpapiere automatisch aktualisiert werden, was sehr nützlich ist.
J’avais aussi vu cet article tu temps. Je le répète, il ne faut pas se focaliser sur les frais de transaction. Quand on investit en buy&hold il faut aussi et surtout voir les frais cachés tels que les frais de dépôt ou les frais de transfert de liquidités. Je n’ai pas réussi à trouver sur Corner Trader ces indications… c’est déjà mauvais signe.
Alle Banken und Broker stellen eine Steuererklärung aus. Man muss sie nur fragen, aber es ist normalerweise ziemlich teuer.
Mir ist gerade aufgefallen, dass ich für Wallis die Referenz von 2011 angegeben habe. Hier ist der Link für 2013:
http://www.vs.ch/Data/formule/DS_10/fml_0000001963.pdf
Darin sind der Bruttoertrag, der nicht erstattungsfähige ausländische Steueranteil und die zusätzliche US-Quellensteuer aufgeführt.
Nicht der Quellensteuer unterliegende Bruttoerträge müssen in der Steuererklärung im Wertpapierverzeichnis aufgeführt werden. Wenn Sie sie natürlich deklarieren möchten ...
Wie ich schon sagte, trotz allem … Am einfachsten ist es, die von der Steuerverwaltung bereitgestellte Software zu nutzen. Ansonsten ist es eine Gasfabrik…Also: Auf die jährliche Besteuerung kommt es an. Um eine Rückerstattung der Standardgebühr (andere Länder) oder der zusätzlichen US-Quellensteuer zu beantragen, müssen ein oder zwei Formulare ausgefüllt werden.
Für Wallis: http://www.vs.ch/Data/formule/DS_10/fml_0000001963.pdf (USA + andere Länder)
Für den Kanton Waadt:
http://www.vd.ch/fileadmin/user_upload/organisation/dfin/aci/fichiers_pdf/DA-1_2013.pdf (andere Länder)
http://www.vd.ch/fileadmin/user_upload/organisation/dfin/aci/fichiers_pdf/R-US_164_2013.pdf (USA)
Für Genf konnte ich es nicht finden.Das ist alles schwer und komplex. Um Ärger zu vermeiden, verwenden Sie am besten die von den kantonalen Verwaltungen bereitgestellte Software; die Formulare für die Rückerstattung der Quellensteuer, der zusätzlichen USA-Quellensteuer und der Festanrechnung erfolgen automatisch.
Für Genf: http://www.getax.ch/support/telecharger
Für Waadt: http://www.vd.ch/themes/etat-droit-finances/impots/vaudtax/vaudtax-2013/telecharger-vaudtax-2013/
Für Wallis: http://www.vs.ch/Public/public_fml/fml_list.asp?Language=fr&MenuID=31859&Code=VSTAX13&ServiceID=10&Color=10Ein interessanter Link von der Steuerverwaltung des Kantons Bern:
oui cela pourrait faire l’office d’un prochain article de ta part
Ich habe jedenfalls versucht, NSH und KMP auf Postfinance und Migros Bank zu kaufen, was nicht möglich war. Bei Swissquote ist es anscheinend das Gleiche wie bei KMP.
Zu Punkt 3: Ja, es ist schon verrückt, wenn es sich bestätigt. Wenn uns niemand Auskunft geben kann, werde ich der Bank schreiben, um mehr zu erfahren. In diesem Fall würde das bedeuten, dass man nicht mehr Interesse daran hat, seine ausländischen Aktien über ein Schweizer Institut zu handeln als über ein ausländisches... und die Antwort ist im Vergleich zu IB schon gegeben, abgesehen von den versteckten Kosten.Interessant, ich werde darüber nachdenken.
1) Wenn ich es richtig verstanden habe, gibt es doch versteckte Kosten, die man berücksichtigen muss, vor allem wenn man langfristig in Dividenden investiert, um eine Rente zu erhalten. Ich denke da insbesondere an eine Gebühr von CHF 11 pro Überweisung, die notwendig ist, wenn man von seinen Dividenden leben will. Bei Postfinance (ich mache ständig Werbung für sie, ich weiß, aber ich habe keine Geschäftsbeziehung mit ihnen) ist ALLES kostenlos. Aber gut, kein Kauf von MLPs möglich.
2) Und dann bleibe ich natürlich auf der Hut, mein Geld aus der Schweiz zu holen, nicht nur aus einem patriotischen Reflex heraus, sondern auch aus der Sorge, dass die in der Schweiz domizilierten Aktien Eigentum des Einlegers sind, was außerhalb des Landes weniger offensichtlich ist.
=> Also versteckte Kosten und Sicherheit der hinterlegten Wertpapiere, ich stelle mir trotzdem Fragen.3) All dies führt mich zu einer weiteren Frage. Wenn ich in den Reglementen meiner verschiedenen Depots in der Schweiz stöbere, finde ich immer einen Satz wie diesen: "Wertpapiere, die ausschliesslich oder hauptsächlich in anderen Ländern als der Schweiz gehandelt werden, sind grundsätzlich ausserhalb der Schweiz zu deponieren oder auf Kosten und Gefahr des Kunden in die Schweiz zu transferieren, wenn sie an einem anderen Ort übergeben wurden. Im Falle einer Verwahrung im Ausland unterliegen die hinterlegten Werte den Gesetzen und Gepflogenheiten des Ortes, an dem sie aufbewahrt werden. Wenn das auf sie anwendbare ausländische Recht es schwierig macht
oder die Rückgabe der im Ausland hinterlegten Werte oder die Überweisung ihres Verwertungserlöses unmöglich ist, ist die Bank nur verpflichtet, dem Kunden das Recht auf Herausgabe der Werte oder die entsprechende Zahlung zu verschaffen, wenn dieses Recht besteht und übertragbar ist."
=> Also selbst bei einer Hinterlegung in der Schweiz, in dem Glauben, vom Schutz der Wertpapiere zu profitieren, die nach geltendem Recht Eigentum des Hinterlegers sind, könnte es nach dieser Regelung gut sein, dass unsere US-Wertpapiere in Wirklichkeit in den USA oder anderswo hinterlegt sind, ohne vom Schutz des Hinterlegers profitieren zu können... Eine Idee oder Erfahrung diesbezüglich?Wenn nicht, kennt jemand ein Bankinstitut in der Schweiz, bei dem man mit MLPs handeln kann?
Das bringt mich auf den Gedanken, dass IB vielleicht die Lösung ist, um MLPs erwerben zu können. Es ist unmöglich, sie über Postfinance, die Migros Bank oder Swisquote zu kaufen. Aber das Verfahren zur Eröffnung eines Kontos scheint mir etwas kompliziert zu sein, oder?
Es ist fertig, ich habe Thales zum EX-US hinzugefügt: http://www.dividendes.ch/ex-us-international-etfs-and-dividend-stocks/
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