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Jerónimo.
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15 julio 2012 a las 16:13 #16311
Investisseur de 36 ans, orienté valeur et dividendes, véritable « stock junkie », avec un horizon-temps de 20 ans au minimum, me réjouissant lorsque les marchés s’effondrent (cela crée encore plus d’opportunités d’achat), achetant au son des canons et vendant au son des trompettes, respectant les principes suivant (ou du moins j’essaie car je ne suis pas dépourvu d’émotions) :
1. J’évite certains secteurs comme la peste. Ceux que je ne comprends pas (techno) et ceux qui sont trop compliqués (automobile ou aviation).
2. Je suis un gars « micro », je ne comprends rien à la « macro ».
3. Je pratique un buy & hold pragmatique, dans le sens où je n’hésiterai pas à me séparer d’un titre si les fondamentaux à long terme ne sont plus ce qu’ils étaient au moment de mon achat.
4. Je ne garde que très peu de cash, le cash me servant à procéder a des acquisitions opportunistes.
5. Je ne fais pas de trading, je n’ai ni le temps ni les compétences.
6. Détenir de l’or est absurde. Warren Buffett d’ailleurs a très justement dit: gold gets dug out of the ground in Africa, or someplace. Then we melt it down, dig another hole, bury it again and pay people to stand around guarding it. It has no utility. Anyone watching from Mars would be scratching their head.
7. Pour plus de EUR 50k, il vaut mieux construire son propre « fond de placement » en faisant ses emplettes soi-même plutôt que d’acheter des fonds et payer des commissions élevés a des gens gavés de sushi et de cafés latte. De plus, les fonds peuvent fermer, les managers et les politiques d’investissement peuvent changer, la transparence est souvent limitée aux 10 positions les plus importantes en fin d’exercice mais rien sur leurs allées et venues ou sur les autres positions !8. La volatilité est mon amie !
9. Je ne confonds pas « entreprise » et « actions ». Une bonne entreprise, bien gérée, peut voir ses actions cassées ne valant pas le détour.
10. J’investis dans des actions et non pas dans les produits de l’entreprise. Par exemple, je n’aime pas le tabagisme mais j’adore PM et MO.
11. J’ai un goût prononcé pour les entreprises familiales car elles sont généralement orientées dans la durabilité. Beaucoup ont un management paternaliste et humble.
12. « Do you know the only thing that gives me pleasure? It’s to see my dividends coming in » John D. Rockefeller (ok j’en ai quand meme d’autres
)
13. Je m’informe beaucoup et suis à l’affût de la moindre opportunité d’investissement. Mes amis virtuels sont Jim Cramer, Maria Bartiromo et Betty Liu (au grand désarroi de ma femme)
14. Je n’investis jamais directement dans les BRIC mais par le biais de sociétés basées dans des pays développés dont une grande partie de leur revenu provient justement de ces marchés émergeants. Par exemple, le géant suisse peu connu du grand public, DKSH, qui vient d’entrer en bourse cette année.
15. En terme de valorisation, je regarde le P/E pour les big cap alors que le regarde plutôt du côté du Price per book value pour les petites sociétés.
19 julio 2012 a las 15:04 #16494Exellente présentation birdienumnum, très complète !
Nous avons beaucoup de points en commun : notre génération, notre aversion pour l’or, notre orientation long terme, l’amour des dividendes et des marchés qui s’effondrent. La seule véritable différence concerne la volatilité. Ce n’est pas que je l’aime pas, puisqu’elle me permet d’acheter à bon prix, mais j’ai appris qu’au delà d’un certain niveau elle me faisait faire des conneries. Quand les émotions comme la peur ou l’euphorie se mêlent au débat ce n’est jamais bon. Nous avons tous une tolérance au risque différente. Je sais qu’à partir de 20-25% d’écart-type relatif je commence à déconner.20 de julio de 2012 a las 4:22 a. m. #16495Hola Jerome,
En realidad, noté muchos puntos en común entre nosotros al leer su blog, su enfoque, sus recomendaciones, etc... ¡y permítame felicitarlo por su sitio porque es obvio que le ocupa mucho tiempo!
Respecto a la volatilidad, lo que quise decir fue "hay que lidiar con ella" y no tenerle miedo. Desde la crisis financiera hemos pasado a la crisis de la deuda, la crisis del euro, etc. durante al menos 3 años, está claro que es la macro la que dicta los mercados y la volatilidad es alta, la gente tiene miedo, los mercados son esquizofrénicos, en resumen... es una tontería pero hay que afrontarlo y tener suficiente liquidez (y cojones para estos señores) para volver a entrar en los mercados cuando se hayan corregido o capitulado (pienso por ejemplo en marzo de 2009).
De lo contrario, yo también he estado haciendo cosas estúpidas y arrastrando esqueletos desde que comencé (que nunca he vendido)… mi mayor defecto es no saber vender con pérdidas… también creo que esto es lo más difícil para el inversor.
20 julio 2012 a las 18:48 #16496Merci. Oui tout cela prend du temps, mais quand on aime on ne compte pas
Le tout est de trouver encore du temps après s’être usé au travail et garder de sa personne pour sa propre famille. Pas évident…C’est clair que la volatilité est à la fois amie et ennemie. Amie dans le sens où elle permet d’acheter bas et de vendre haut, mais ennemie parce qu’elle nous confronte à nous propres émotions.
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