Chorei respostas em nenhum fórum
-
AutorArtigos
-
Salut Etienne,
effectivement la stratégie mise sur le très long terme et c’est pour cela que je dois reconnaître que l’abonnement annuel est un bon compromis. Au début j’avais pensé sans doute à tort que les internautes préféreraient payer un peu moins mais plus souvent, un peu à la manière du zapping sur une télé, mais il faut croire que la personnalité « investisseur à long terme » est plus forte de celle de l’internaute qui passe rapidement de site en site. Et cela ça me fait particulièrement plaisir en fait.
Concernant ta question sur un abonnement illimité, je dois dire que ça me laisse perplexe, car même si aujourd’hui j’adore tenir ce site, qu’en sera-t-il dans cinq ans ? Et que se passera-t-il si j’arrête tout et que je doive rembourser en même temps tous les abonnés illimités ? Et combien leur rembourser ?
Je vais encore y réfléchir. J’ai peut-être une autre idée, mais faut que ça mûrisse …
C’est l’éternelle question. Souvent les investisseurs qui débutent commettent l’erreur de tout se suite rentrer sur le marché, avec seulement un peu d’économies de côté, car ils sont impatients de commencer. Je comprends, j’ai fait pareil à l’époque. Le problème c’est qu’en pratiquant de la sorte on commet en tout cas deux erreurs :
- On grille rapidement tout le cash qu’on a si bien qu’on a plus de réserves si tout à coup de belles opportunités devaient se présenter sur le marché
- Comme on a peur de commettre des erreurs, à juste titre, on diversifie un max. Mais comme le montant de base est petit, on fait de nombreux petits achats. Le problème c’est qu’on grille une bonne partie de sa plus-value potentielle en commissions. On part donc avec un retard monstre c’est les gros investisseurs. C’est bien connu, il pleut toujours au même endroit…
Il vaut donc mieux effectivement commencer comme tu le dis par un ETF. Un tracker sur les dividends aristrocrats est forcément une bonne idée. Cela permet de se familiariser tranquillement à la bourse, sans trop de risques. Il faut quand même être conscient qu’à long terme les actions « originales » sont préférables aux ETFs, car pas de commissions… Mais un peu d’ETFs, surtout au début, cela ne peut pas faire de mal.
Je pense de manière générale qu’un investisseur doit s’assurer une base arrière de cash solide, un seuil sous lequel il ne descendrait pas. Interdit d’investir avant d’avoir dépassé ce seuil. Si le marché s’écroule, alors il peut entamer ce cash, mais obligation alors de remonter à la hauteur de seuil avant d’investir à nouveau. Je suis conscient néanmoins qu’atteindre ce seuil peut-être long et décourageant quand on débute.
c’est possible, dans ces ratios il y a souvent plusieurs méthodes, qui peuvent varier en fonction de la période, de résultats exceptionnels, de bénéfice dilué ou consolidé, etc… ce qui est important c’est de se fier à une source régulière et fiable, et ne pas changer, sinon on y perd son latin
es-tu vraiment sûr que les données de base soient les mêmes ? apparemment sur morningstar le taux que tu indiques est de 2007 complet à 2012 complet (FY – toute l’année civile), peut-être sur FT c’est sûr 12 mois roulants (TTM) ?
Justement, c’est pour ça que je préfère le bénéfice par action. Car au final, c’est bien la part du bénéfice qui est contenu dans chaque action, et qui donc est dans ta poche qui t’intéresse. Le fait que des actions disparaissent, signifient qu’un peu plus de richesse rentre dans tes poches. Au contraire, s’il y a plus d’actions, la part du gâteau devient plus petite.
Tu n’es pas obligé d’attendre un gros clash chaque 7 ans bien entendu. Ces périodes sont exceptionnelles pour les investisseurs value, c’est les grosses soldes où même les pépites sont bradées. En dehors de ces périodes, il faut juste être plus prudent et acheter au compte-gouttes. Dans les différents titres que tu as cités ci-dessus mes préférés sont CL, WAG et MCD… ça reste des classiques, des valeurs sûres à long terme.
Olá Alexandre,
bienvenue sur le forum. Déjà bonne nouvelle, tu pars dans la bonne direction. Parfois les jeunes investisseurs, comme moi à l’époque, sont plus friands d’entreprises technos ou très volatiles et nettement moins attachés aux dividendes, qui passent toujours comme un investissement à la papy, à tort. Les critères que tu énumères sont bons aussi, à savoir que tu regardes les dividendes, leur historique et leur progression, mais aussi comment ils sont couverts par le bénéfices. Tu tiens compte aussi du cours, à travers la volatilité, ce qui est important, surtout par rapport à tes propres émotions d’investisseur.
Tu as tout à fait d’accord quand tu dis « si une entreprise a un rendement de 2% et une progression de l’EPS de 20%, elle est plus tentante qu’une entreprise avec un rendement de 4% et une progression EPS de 6% », quoique 20% de progression annuelle ce n’est peut-être pas soutenable très longtemps. Mais l’idée est là : tu ne dois pas te focaliser sur le rendement. Paradoxalement c’est même un des critères les moins importants en matière de dividendes ! Entre 2.5% et 5% de rendement, il n’y a pas trop de problème, au-delà de ces bornes il faut faire beaucoup plus attention. Mais même dans ces bornes, il peut y avoir d’énormes différences en matière de durabilité et de croissance du dividende entre les différents titres. Et puis au final, bien sûr, cela dépend beaucoup du niveau global du marché, qui est un peu haut à mon goût en ce moment.
Je connais de près ou de loin les titres de ta watch list. Là aussi tu es dans la bonne direction. Après il faut faire un peu de tri en reprenant les critères dont on a parlé : volatilité, croissance, payout ratio, historique des dividendes, rendement… Quelques titres devraient sortir du lot.
de nada
e aqui está uma pequena renda mensal para você!
Há alguns valores interessantes aqui. Gosto particularmente de SYY, JNJ, WTR, PPL, SCHP, NESN e NOVN.
SREN Boa jogada do amigo Warren, mais uma vez.
Bela foto com Heinz Birdie! 😎
é roubo e é escandaloso
é uma cisão, que deve estar indicada no papel que você recebeu do banco, e significa o que significa
reter 25% sobre o valor do ABBV recebido significa reter 12,5% do valor do seu antigo ABT, sem ganho, uma vez que a empresa acaba de ser dividida em duas entidades
se você tem um bolo e o corta em dois, não tem mais o que comer no final... neste caso você tem ainda menos, pois um aproveitador veio se convidar para a "festa" sem ser convidado
Espero que o seu banco não faça isso também durante um desdobramento... mas não é tão diferente assim... você herda ações adicionais, mas o capital total é sempre o mesmo
mostre ao seu banqueiro o gráfico de preços do ABT… isso diz muito… se ele ainda quiser tributá-lo pelo “ganho” nas novas ações da ABBV, enquanto ele compensa você pela “perda” nas suas ações do ABT…
pensamos que estamos sonhando
Esta tabela foca apenas nos retornos, o que é perigoso. É também necessário ter em conta, e entre outras coisas, a taxa de pagamento.
Vu les montants faibles que vous investissez, il n’y a pas de risque. Mais effectivement si les montants deviennent plus importants, je préfère diversifier.
Les revenus constants ne sont pas a priori mauvais, mais sur le moyen/long terme il est mieux d’investir dans des dividendes croissants pour ne pas perdre en terme de revenus réels, à cause de l’inflation. De plus la magie des intérêts composés transforment des rendements modestes en de véritables usines à fric.
Des rendements de 5% paraissent alléchants de prime abord, mais comme il ne bougent pas, leur attrait fond comme de la neige au soleil en quelques années seulement, alors qu’un rendement de seulement 2.5% qui croît de 10% par année le dépasse en sept ans seulement (et après ça continue de plus belle…). En réinvestissant les dividendes c’est encore mieux.
Ce ne sont pas des dividendes, mais un fonds d’obligations d’entreprises, donc à revenu constant.
Vu votre profil un fonds ou un ETF peut être une bonne solution, sinon mettez de côté du cash petit à petit.
Não estou dizendo que você nunca deve vender. Digo que são os fundamentos, nomeadamente os lucros, que determinam se a empresa é e será sempre capaz de pagar dividendos no futuro. Às vezes é preciso vender, seja porque o dividendo não é mais sustentável ou porque não tem mais muito potencial para crescer.
Lembre-se de que os dividendos representam historicamente quase metade da rentabilidade total do mercado. Ao focar nas perdas/ganhos de preços, você esquece essa importante realidade.
Sobre este tema da venda de títulos de dividendos convido-vos a ler os seguintes artigos:
http://www.dividendes.ch/2011/12/quand-vendre-des-dividendes-croissants/
http://www.dividendes.ch/2012/05/prendre-ses-benefices-avec-des-payeurs-de-dividendes/
Não sou fã de análise técnica, porque ela é muito aberta à interpretação e a muitos sinais falsos. Mas é possível conciliar as duas abordagens se for isso que você realmente deseja. Sobre este assunto, convido você a consultar a série de artigos http://www.dividendes.ch/2012/04/dividendes-to-be-or-not-to-be-episode-1/
-
AutorArtigos