Action Holcim (HOLN) : analyse après la transformation

Mise à jour : novembre 2025

Holcim s'est profondément transformé depuis 2020. L'entreprise, autrefois critiquée pour ses marges médiocres et son endettement élevé, affiche désormais des performances financières de premier plan dans son secteur. Le spin-off de ses activités nord-américaines en juin 2025 marque un nouveau chapitre stratégique. Analysons l'attractivité actuelle du titre pour les investisseurs en dividendes et en quête d'indépendance financière.

Action Holcim (HOLN) : analyse après la transformation

L'entreprise recentrée post-spin-off

Holcim (ticker HOLN, anciennement LHN) figure à la bourse de Zurich. Issue de la fusion Lafarge-Holcim en 2015, l'entreprise est le leader mondial des matériaux de construction. Après le spin-off d'Amrize en juin 2025, Holcim opère désormais dans 45 marchés répartis sur trois zones géographiques : Europe, Amérique latine, et Asie-Moyen-Orient-Afrique.

Le groupe emploie 48.000 personnes et a généré un chiffre d'affaires de 16.2 milliards de francs suisses en 2024 (périmètre post-spin-off). L'entreprise a réorganisé son offre autour de deux lignes de produits : Building Materials (ciments et granulats décarbonés) et Building Solutions (systèmes de construction à haute performance, du sol au toit).

Holcim mise sur sa leadership en construction durable avec ses gammes premium ECOPlanet (ciment bas carbone) et ECOPact (béton bas carbone), qui représentent désormais plus de 30% des ventes et constituent un moteur clé de croissance rentable.

La transformation spectaculaire 2020-2025

L'évolution financière d'Holcim sur cinq ans est remarquable. L'entreprise a systématiquement corrigé tous les problèmes identifiés lors de précédentes analyses.

Profitabilité restaurée

La marge nette est passée de 7.26 % en 2020 à 12.20% actuellement, dépassant largement la moyenne sectorielle de 3.53%. Cette amélioration résulte d'une stratégie délibérée de montée en gamme, privilégiant la valeur au volume. La marge EBIT récurrente atteint désormais 19.1%, plaçant Holcim parmi les leaders mondiaux du secteur.

Le retour sur capitaux propres (ROE) s'établit à 12.79%, contre 6.15% en 2020 et une moyenne sectorielle de 4.61%. Cette progression témoigne d'une utilisation nettement plus efficace du capital.

Désendettement accompli

L'endettement net a été réduit de manière constante. Le ratio dette/fonds propres s'établit à 0.67, contre un secteur à 0.41. Plus significatif, le Z-Score d'Altman est passé de 1.72 (zone rouge) en 2020 à 3.43 aujourd'hui, signalant une santé financière solidement rétablie. Le F-Score de Piotroski atteint 7/9, confirmant la solidité de l'entreprise.

La couverture des intérêts s'élève à 7.92 fois, démontrant une capacité confortable à honorer ses engagements financiers.

Le spin-off Amrize : événement stratégique majeur

En juin 2025, Holcim a séparé ses activités nord-américaines pour créer Amrize, entreprise désormais cotée indépendamment à New York et Zurich.

Modalités de l'opération

Les actionnaires d'Holcim ont reçu gratuitement une action Amrize pour chaque action Holcim détenue au 20 juin 2025. L'opération s'est effectuée par distribution en nature (dividend-in-kind), sans imposition pour les actionnaires suisses et américains. Amrize a réalisé un chiffre d'affaires de 11.7 milliards de dollars en 2024.

Nouvelle configuration

Holcim post-spin-off se concentre sur l'Europe (54% du chiffre d'affaires), l'Amérique latine et l'Asie-Moyen-Orient-Afrique. Cette configuration permet un focus stratégique sur les marchés émergents à forte croissance et sur l'Europe où la transition écologique du bâtiment offre d'importantes opportunités.

La stratégie NextGen Growth 2030 vise une croissance annuelle des ventes de 3-5% et une croissance de l'EBIT récurrent de 6-10%, avec un objectif de marge EBIT supérieure à 18%.

Valorisation : attention au P/E trompeur

Certaines plateformes financières affichent un P/E de 2.70 pour Holcim, ce qui pourrait suggérer une sous-évaluation spectaculaire. Cette métrique est trompeuse et ne reflète absolument pas la réalité économique de l'entreprise.

Pourquoi ce P/E est aberrant

Le bénéfice par action (EPS) des douze derniers mois inclut un gain comptable exceptionnel de 12.3 milliards de francs suisses enregistré au premier semestre 2025 lors du spin-off d'Amrize. Ce gain résulte de l'écart entre la valeur de marché d'Amrize (25.4 milliards CHF) et la valeur comptable des actifs nets transférés (10.1 milliards CHF).

Ce gain non-cash et non-taxable a artificiellement gonflé l'EPS à 24.83 CHF, faussant complètement le ratio P/E calculé sur les douze derniers mois.

La valorisation réelle

Basé sur les bénéfices 2024 avant le spin-off, le P/E s'établit à 15.34, ce qui représente une décote de 25% par rapport à la moyenne sectorielle de 20.39. Cette valorisation reflète les fondamentaux réels de l'entreprise et reste attractive.

Autres indicateurs de valorisation

Les ratios non affectés par le gain exceptionnel confirment une valorisation raisonnable :

  • P/FCF : 12.63 (vs 20.02 industrie) - décote de 37%
  • P/S : 1.94 (vs 1.23 industrie)
  • P/B : 2.84 (vs 1.69 industrie)
  • P/Tangible Book : 5.55 (vs 2.40 industrie)

Le P/FCF particulièrement attractif témoigne d'une forte génération de cash par rapport à la capitalisation boursière. Le ratio P/S est en revanche élevé, tant du point de vue de l'industrie, que du trend historique. Il en va de même pour le P/B et du P/TB qui retrouvent des niveaux de valorisations qu'on avait plus vus depuis 2008. Le phénomène est particulièrement marqué cette année à cause de l'érosion de la valeur comptable post spin-off.

La valorisation actuelle suggère une opportunité intéressante du point de vue des bénéfices et du cash. L'incohérence apparente entre le PER et le P/S s'explique par la très bonne profitabilité actuelle d'Holcim. Ces ratios attractifs sont toutefois assombris par le P/B et le P/TB qui ôtent toute marge de sécurité dans la valorisation du titre.

Performance financière 2024

L'année 2024 a marqué des records historiques pour Holcim, avec un EBIT récurrent dépassant pour la première fois 5 milliards de francs suisses.

Résultats consolidés

  • Chiffre d'affaires : 26.4 milliards CHF (incluant Amrize)
  • EBIT récurrent : 5.0 milliards CHF
  • Marge EBIT : 19.1% (expansion continue)
  • Free cash flow : 3.8 milliards CHF
  • Bénéfice net : 2.7 milliards CHF

Marges et rentabilité

La marge brute a atteint 50.85% et la marge nette 11.07% en 2024, démontrant un fort pouvoir de pricing sur les produits premium.

La rentabilité opérationnelle s'améliore trimestre après trimestre. Au premier semestre 2025 (post-spin-off), la marge EBIT récurrente a encore progressé à 18.3%, avec une croissance de l'EBIT de 10.8% en monnaie locale malgré une croissance des ventes de seulement 1.8%. Cette sur-proportionnalité témoigne d'un modèle économique de plus en plus efficient.

Le dividende : croissance soutenue

Holcim offre un rendement attractif avec une politique de distribution claire et en croissance.

Dividende 2025

Le dividende versé en 2025 est (exercice 2024) est de 3.10 CHF par action, en hausse de 11%. Au cours actuel de 75.22 CHF, cela représente un rendement de 4.12%, supérieur à la moyenne sectorielle de 2.74%.

Soutenabilité

Le taux de distribution (payout ratio) s'établit à 65.47%, un niveau raisonnable qui permet à l'entreprise de continuer à investir dans sa croissance tout en rémunérant généreusement ses actionnaires. Ce ratio de 65% est proche de la moyenne sectorielle de 51%, sans être excessif.

Historique de croissance

Sur les cinq dernières années, le dividende a progressé à un rythme annuel moyen de 6.96%, performance remarquable dans un secteur où la moyenne est négative (-4.90%). Le dividende est versé sans interruption depuis 15 ans et n'a pas diminué depuis 5 ans, témoignant d'une politique de distribution stable et prévisible.

Le shareholder yield (dividende + rachats d'actions) atteint 5.46%, reflétant une politique de retour aux actionnaires dynamique. L'entreprise a également mené un programme de rachat d'actions de 1 milliard CHF en 2024.

Solidité financière restaurée

Le bilan d'Holcim s'est considérablement renforcé depuis 2020.

Structure du capital

Le ratio dette/capitaux propres de 0.67 reste supérieur à la moyenne sectorielle de 0.41, mais l'entreprise a clairement démontré sa capacité à réduire son endettement.

Scores de santé financière

Le Z-Score d'Altman de 3.43 place Holcim en zone verte, très loin de la zone rouge de 2020 (1.72). Ce score mesure le risque de défaillance et cette amélioration spectaculaire reflète la transformation profonde de l'entreprise.

Le F-Score de Piotroski atteint 7/9, indiquant une situation financière solide avec des tendances positives sur la profitabilité, l'efficacité opérationnelle et la structure financière.

Génération de cash

Le free cash flow de 3.8 milliards CHF en 2024 démontre une forte capacité à convertir les bénéfices en liquidités. Cette génération de cash soutient à la fois les dividendes croissants, les investissements de croissance et la réduction de la dette.

L'affaire Lafarge-Syrie : contexte juridique

L'héritage de Lafarge inclut une affaire judiciaire importante dont les investisseurs doivent avoir connaissance.

Les faits

Entre 2013 et 2014, Lafarge (avant sa fusion avec Holcim) aurait versé environ 5 millions d'euros à des groupes terroristes, dont l'État islamique, pour maintenir l'activité de sa cimenterie en Syrie pendant la guerre civile. L'affaire a été révélée en 2016 par Le Monde.

Procédure en France

Un procès s'est ouvert en novembre 2024 à Paris. Lafarge SA et huit personnes, dont l'ancien PDG Bruno Lafont, sont jugés pour financement d'entreprise terroriste et violation d'embargo. L'entreprise reste également mise en examen pour complicité de crimes contre l'humanité dans une procédure séparée qui se poursuivra ultérieurement aux assises.

Sanctions déjà payées

En octobre 2022, Lafarge a plaidé coupable aux États-Unis et accepté de payer 778 millions de dollars d'amendes. Ces sanctions ont été provisionnées et payées. L'entreprise a également constitué des provisions pour les procédures en France.

Impact financier limité

L'impact financier des sanctions américaines, bien que substantiel, a déjà été absorbé. Les provisions constituées pour les procédures françaises représentent une fraction des bénéfices annuels. Le risque principal reste réputationnel plutôt que financier, l'entreprise ayant démontré sa capacité à absorber ces coûts tout en maintenant sa performance opérationnelle.

Risques à considérer

Malgré la transformation positive, plusieurs risques méritent attention.

Cyclicité sectorielle

Le secteur des matériaux de construction reste exposé aux cycles économiques. Une récession affecterait les volumes de vente. La volatilité du titre (29.09%) et son bêta de 1.14 reflètent cette sensibilité au marché.

Exposition géographique

Avec 54% du chiffre d'affaires en Europe, Holcim dépend de la santé économique européenne. L'Amérique latine et l'Afrique du Nord offrent de meilleures perspectives de croissance mais comportent des risques politiques et de change.

Transition énergétique

Bien que l'entreprise investisse massivement dans la décarbonation (projet OLYMPUS en Grèce pour produire 2 millions de tonnes de ciment quasi-zéro par an), le secteur du ciment reste intrinsèquement émetteur de CO2. Le durcissement réglementaire pourrait nécessiter des investissements supplémentaires significatifs.

Issue judiciaire

Le procès en France pourrait aboutir à des sanctions complémentaires, bien que l'impact financier probable reste limité au regard des provisions constituées et de la capacité bénéficiaire actuelle de l'entreprise.

Pertinence pour une stratégie FIRE

Pour un investisseur visant l'indépendance financière, Holcim présente un profil intéressant mais nuancé.

Arguments favorables

Le rendement de 4.12% est attractif, bien supérieur à de nombreuses obligations de qualité. La croissance historique du dividende de 7% annuel sur 5 ans, combinée à un payout ratio soutenable de 65%, suggère que cette progression peut continuer.

La transformation financière est documentée et spectaculaire. L'entreprise a prouvé sa capacité à améliorer ses marges, réduire sa dette et générer du cash de manière constante. Le P/E de 15.34 (sur bénéfices 2024) offre une décote par rapport au secteur.

Réserves

La cyclicité reste une réalité. Dans une stratégie FIRE, ce titre conviendrait mieux comme composante d'un portefeuille diversifié plutôt que comme position concentrée. La volatilité de 29% nécessite un horizon d'investissement long terme et une tolérance aux fluctuations.

L'exposition européenne limite le potentiel de croissance comparé à des entreprises purement exposées aux marchés émergents. La transition post-spin-off créera probablement de la volatilité à court terme avant que le marché ne revalorise correctement les deux entités séparées.

FAQ

Holcim verse-t-il encore des dividendes après le spin-off ?

Oui, Holcim maintient une politique de dividende croissant. Le dividende 2025 proposé est de 3.10 CHF par action (+11%), pour un rendement de 4.12%. De plus, les actionnaires ont reçu gratuitement des actions Amrize qui versent également un dividende.

Quel est l'impact du spin-off Amrize pour les actionnaires ?

Les actionnaires d'Holcim ont reçu une action Amrize gratuitement pour chaque action Holcim détenue. Ils possèdent désormais deux entreprises indépendantes au lieu d'une. L'opération était neutre fiscalement en Suisse et aux États-Unis. La valeur totale se répartit entre les deux entités.

L'affaire Lafarge menace-t-elle la viabilité de l'entreprise ?

Non. Les sanctions américaines de 778 millions de dollars ont été payées en 2022. Les provisions pour les procédures françaises représentent une fraction des bénéfices annuels de 2.6 milliards CHF. Le risque est davantage réputationnel que financier.

Le P/E de 2.70 indique-t-il vraiment une opportunité exceptionnelle ?

Non, ce ratio est trompeur. Il résulte d'un gain comptable exceptionnel de 12.3 milliards CHF lié au spin-off d'Amrize. Le P/E réel basé sur les bénéfices récurrents 2024 est de 15.34, ce qui reste attractif mais n'est pas aussi spectaculaire que le suggère le chiffre aberrant de 2.70.

Holcim est-il un bon investissement pour le long terme ?

Holcim présente des fondamentaux solides : leadership sectoriel, marges en expansion constante, dividende croissant, génération de cash robuste. La valorisation avec une décote de 25% sur le P/E par rapport au secteur offre un point d'entrée intéressant, mais sans marge de sécurité (P/B élevé). La cyclicité et l'exposition européenne nécessitent cependant un horizon long terme et une diversification appropriée. Pour un portefeuille FIRE, c'est une brique solide mais pas une position à concentrer excessivement.


Conclusion

Holcim a accompli une transformation remarquable depuis 2020. L'entreprise affiche désormais des performances de premier plan avec une marge EBIT de 19%, un ROE de 13% et une génération de cash robuste.

Le spin-off d'Amrize ouvre un nouveau chapitre stratégique, permettant un focus sur les marchés à forte croissance et sur la transition écologique du bâtiment en Europe.

Les risques de cyclicité et l'issue du procès Lafarge méritent attention, mais ne remettent pas en cause les fondamentaux solides de l'entreprise.


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10 réflexions sur “Action Holcim (HOLN) : analyse après la transformation”

    1. Perso j’avais voté pour Michelin ^^ ça m’interesserait beaucoup d’avoir ton avis dans une prochaine analyse peut-être 🙂

      1. Pas de souci, je vais relancer un vote prochainement en reprenant (au moins) les têtes de liste. C’était très serré entre Michelin et LafargeHolcim !

      2. Laurent Martin

        Merci pour cette excellente et utile analyse.

        J’ai du LHN en portefeuiĺle. Ce n’est peut-être pas la panacée pour les raisons que tu relèves, mais ce n’est comparativement pas mauvais. A défaut de grives… En l’état actuel des choses, je considère encore que les avantages de ce titre l’emportent sur ses inconvénients.

        Mon problème est que si je me fiais uniquement à l’analyse de titres pour eux-mêmes, sans comparer et étudier des alternatives, je serais 100% en cash. Mais le cash à long terme n’est pas une solution, non seulement parce que cela ne rapporte rien mais que cela expose à l’inflation ( et avec les millards « imprimés » par les banques centrales…). Bon, certains disent que, par les temps qui courrent, l’essentiel n’est pas de gagner mais de ne pas perdre; je dois dire que c’est un peu ma philosophie actuelle.

      3. Salut Laurent

        Oui, tu as raison. Actuellement on peut analyser pratiquement n’importe quel titre et parvenir à la conclusion qu’aucun n’est valable. Donc, comme tu le dis, ça impliquerait de rester cash à 100%.

        Perso, je n’ai plus beaucoup d’actions et évidemment cette situation ne me satisfait guère. J’avais espéré une correction de plus grande ampleur en ce début d’année, afin qu’on retrouve des niveaux de valorisation décents. C’est raté, en tout cas pour l’instant.

        Ceci étant dit, il n’y a pas que le cash, il y a aussi d’autres actifs possibles (immobilier, or, obligations, crypto-monnaies…).

        A++

  1. Bonjour,
    Je n’ai pas creusé le dossier mais je me pose la question de l’historique considéré. La plupart du business dépend des pays émergents qui n’ont pas été à la fête ces dernières années avec la baisse généralisée des matières premières.. Du coup, même en prenant un historique de 5 ans, on pourrait être sur une période correspondant à un bas de cycle qui dure… Il faudrait inclure les années 2006 et 2007 qui correspondaient au précédent haut de cycle pour avoir une idée de la capacité bénéficiaire maximale … et définir une moyenne sur un cycle !

    1. Ah oui alors là c’est vraiment des méga-cycles 🙂

      Si on part sur des durées de quinze ans ça commence à poser des questions d’ordre structurel. Tellement de choses peuvent évoluer favorablement ou défavorablement sur un horizon pareil qu’on rentre dans le domaine des prévisions, celles que je laisse aux analystes (et qui sont presque toujours fausses…). D’ailleurs « LafargeHolcim », n’existait pas en 2006-2007. Même si on pourrait s’amuser à voir ce que « Lafarge » et « Holcim » ont fait à ce moment-là, la réalité d’aujourd’hui est toute autre, avec une seule entité.

      Sur cinq ans, on parvient à valoriser, malgré l’inconstance des bénéfices, tout en restant assez proche de la réalité du moment.

  2. Bonjour,

    Quels sites utilisez-vous pour trouver toutes les informations financières et ratios des sociétés ?

    Salutations.

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