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J’ai la même situation avec plusieurs titres.
L’imposition se fait toujours d’après la date de paiement, ce qui est logique car le cash ne figure sur le compte qu’à ce moment-là.
Mais je ne vois pas trop ce que ça change en fin de compte, tu devras de toute façon être taxé une année ou l’autre.
A moins que comme tu dises, tu veuilles vendre avant le dividende, pour garder la plus-value et ne pas être imposé sur les distributions (stratégie valable uniquement si tu es suisse, donc non taxé sur la plus-value). Mais dans ce cas tu t’en fous de l’année, puisque de toute façon tu vends avant la date ex. Et à long terme je ne pense pas que vendre pour éviter d’être taxé sur un dividende soit productif.
A noter que sur IB tu peux paramétrer tes rapports et tu peux très bien indiquer sur ta déclaration fiscale chaque position séparément.Salut
Clinton ou Trump, c’est certes pas des lumières, mais faut pas surestimer leur influence sur le marché.
Par contre c’est vrai, et ça fait longtemps que je le dis, que le marché des actions est surévalué : http://www.dividendes.ch/evaluation-du-marche/
C’est aussi pour cela que j’ai mis en route le Trading Auto Signal.
Pour ce qui est de ta question, j’ai débuté ce portfolio de dividendes en 2010 seulement, je n’ai donc pas d’exemple à te montrer pour des années comme 2000-2003 ou 2008-2009.
Par contre si je me suis mis sur cette stratégie des dividendes croissants c’est précisément parce que j’ai vécu en tant qu’investisseur ces deux périodes. Et je les ai même mal vécues, comme beaucoup.
Les actions payeuses de dividendes croissants sont réputées pour bien résister aux marchés baissiers. Les articles suivants t’en donneront des exemples et explications :
Non je pense que cette fonctionnalité n’est plus possible car elle était liée au partenariat qu’ils avaient avec la BCV sauf erreur.
De toute façon ca n’aimerait pas grand chose non plus.Il n’y a pas de règle à ce sujet. Il y a des titres qui battent le marché durant plusieurs décennies et qui effectivement ne semblent pas vouloir redescendre à sa hauteur. Il y en a d’autres au contraire qui ont battu le marché durant longtemps et qui sont retombés de très haut, voir même ont fait faillite.
L’histoire est plein d’exemples de sociétés qu’on croyait au dessus de la mêlée et qui se sont écroulées. Pensons par exemple à Eastman Kodak qui a raté le virage technologique des appareils numériques.
De manière générale toutes les technos sont sujettes à ce problème. Elles ridiculisent le marché durant plusieurs années, puis elles s’écroulent. Cela a été une fois le cas pour Apple, qui s’en est remis lors du retour de Steve Jobs, et du lancement des iPods et iPhones. Et maintenant on peut peut-être imaginer que cette société va de nouveau s’écrouler dans le futur. Pour l’instant elle a d’énormes moyens encore, mais il suffit qu’elle rate un virage technologique, et boum.
Cela pourrait même être le cas pour Google qu’on croit aujourd’hui indétrônable avec sa position quasi monopolistique parmi les moteurs de recherche. Il suffit qu’une nouvelle manière de surfer sur le net déboule et que Google rate ce virage et boum… Ok ça paraît impossible aujourd’hui, mais ça paraissait aussi impossible à l’époque pour Kodak (qui était au Dow Jones je le rappelle !).
Il y a une société incroyable à ce sujet, c’est IBM :
elle a déjà du se réinventer 3 fois au cours de sa longue histoire, et elle est toujours bien là !De manière générale, j’évite aujourd’hui en principe les technos à cause de ça. Même si elles sont très alléchantes, cela peut se retourner très vite et ça peut faire très mal.
Les pharmas sont des « technos » un peu à part. Bien sûr elles peuvent aussi rater un virage technologique, mais elles sont aussi dans les biens de santé, de première nécessité et c’est donc un avantage sur le long terme car c’est un secteur défensif.
Au final, un titre n’est pas cher ou non parce qu’il bat le marché ou pas, mais par rapport à ses fondamentaux. Il peut être ainsi très bon marché alors même qu’il surperforme le marché depuis des lustres.
Salut Lemij
félicitations, c’est un beau portefeuille que tu t’es constitué là.
De belles valeurs, avec une bonne diversification sectorielle et un métissage helvético-américaine. C’est aussi mes marchés préférés.Je vois avec amusement que tu as du ATLN. Cela me rappelle des souvenirs parce que j’avais commencé à investir en bourse avec ce titre il y a une bonne quinzaine d’années. A l’époque c’était un titre hautement spéculatif, il n’était pas encore au SMI. Je ne suivais pas encore de stratégie de dividendes à ce moment là, je ne faisais que « boursicoter » et j’avais essuyé une grosse perte avec ATLN et du coup je l’avais vendu. Si j’avais fait du buy&hold j’aurais réalisé une jolie plus-value, puisque le titre est bien remonté durant tout ce temps 🙂
Bref, ATLN devient maintenant un titre payeur de dividendes croissants et la boucle est bouclée !
Bonjour
et merci pour vos compliments.Voici mes réponses :
1 – Quel est la différence d’acheter un titre (de l’entreprise x qu’est américaine) chez Postfinance (trader suisse) ou chez un trader étranger.
– on peut escompter des frais de courtage moins élevés chez certains traders étrangers, comme Interactive Brokers
– il n’y aura pas de retenue d’impôt anticipé suisse sur les dividendes. Par exemple avec un compte aux US, il n’y aura que la retenue US de 15%. Mais vu que les échanges automatiques d’information pointent le bout de leur nez, vous avez intérêt à déclarer votre compte. Donc cet avantage n’en est plus vraiment un.
2 – Au niveau fiscal (pour une personne domicilié en suisse) est ce que ça change quelque chose ?
Voir ci-dessus.
3 – Est-ce que c’est possible d’acheter un titre d’une entreprise x américaine dans la bourse américaine ou suisse, ça veut dire, d’une entreprise qu’est côté dans 2 bourses ?
Oui. Les big caps sont souvent cotées sur plusieurs marchés. Personnellement je préfère les acheter sur leur marché d’origine, mais en définitive cela ne change pas grand chose.4 – Si oui, quel est la différence entre acheter ce titre dans la bourse de NY ou bien dans la bourse suisse ? Comme mentionné ci-dessus, ça ne change pas grand chose. C’est plutôt une question d’habitude. Comme je transige presque uniquement des actions US, j’ai passe mes ordres la plupart du temps sur le NYSE. Donc je ne me pose pas la question de savoir si les titres sont négociables ou pas sur SWX.
https://www.postfinance.ch/fr/priv/prod/eserv/etrade/detail/price.html
C’est un peu dommage qu’ils introduisent des frais de dépôt fixes de 90.- par an, même si on peut les convertir sous forme de bonus utilisable lors des transactions (je n’ai encore pas très bien compris le mécanisme).
Néanmoins, c’est vrai que ça reste tout à fait raisonnable dans l’ensemble.Je ne vais pas transférer mes positions que j’ai chez eux. Par contre depuis quelques temps je travaille un peu plus avec Interactive Brokers qui a des prix qui défie toute concurrence.
tous les REITs sont à la peine malheureusement en ce moment, pas seulement SNH
il est clair que le resserrement de la politique monétaire US n’aide pasSalut Jean-Louis
content de voir que tu te remets sur les actions payeuses de dividendes croissants. Il y a quelques choix « couillus » dans ton portefeuille, mais intéressants.
Concernant ces titres qui sont refourgués avec les actions je dois dire que j’ai beaucoup de peine avec cette politique. C’est souvent des positions de second ordre, qui vont représenter des petites valeurs en portefeuille et qui soit ne sont pas techniquement transigibles, soit coûtent trop cher proportionnellement en frais de vente. Bref c’est un cadeau empoisonné.
Même si par le plus grand des bonheurs elles devaient doubler de valeur, ça resterait encore trop cher…
Bref, maintenant j’ai décidé que je m’en occupais plus et je les léguerai en héritage sur mon lit de mort à mes enfants 😉je n’ai pas d’infos sur les nouvelles conditions de postfinance avec swissquote… je pense que les frais de transaction vont rester proches, et ça je m’en fous un peu… par contre j’espère juste que les frais de dépôt resteront gratuits car c’est surtout pour ça que j’ai choisi Postfinance.
Salut Florent
c’est l’éternelle question entre partisans de la diversification et ceux de la concentration.
En théorie, plus tu diversifies, moins tu as de risques, mais plus tu as des chances de t’approcher de la performance du marché. Certains préfèrent donc miser sur seulement quelques bons chevaux, en espérant battre substantiellement le marché.
Je ne suis pas tellement d’accord avec cette approche. Le plus important c’est le ratio performance/risque.
C’est inutile de battre le marché si c’est pour prendre des risques inconsidérés.
Dans mon portfolio j’ai aujourd’hui 39 positions. La plus importante représente moins de 6% de la valeur de l’ensemble. Les titres sont choisis notamment pour leur faible volatilité. Mon algorithme a un ratio de winners de 75%. Il y a donc quelques positions perdantes, dont une de près de 50%, mais au final cela ne représente que 1.3% de la valeur du portefeuille.
Si j’avais focalisé sur seulement quelques titres, même si l’algorithme est efficace, j’aurais pris le risque de tomber sur une position perdante qui aurait eu bien plus d’impact sur l’ensemble du portefeuille.
Et au final on peut quand même battre le marché, même avec un portfeuille bien garni. Il suffit que la stratégie soit la bonne.
8 positions / 6 secteurs ça devient déjà intéressant, ça limite un peu les risques, mais tu peux sans autres viser plus.
Concernant les titres US, oui il faut aussi le faire, notamment pour diminuer le risque de change. Voir :c’est n’importe quoi… content de vivre en Suisse
j’estime payer trop d’impôt à cause des revenus de mon activité lucrative, mais heureusement pour le reste c’est raisonnable
désolé mais la nouvelle stratégie ne résoudra pas ton problème puisque, à lire ton dernier message, vous êtes aussi fortement taxés sur les plus-values…Salut William
cela fait toujours plaisir de lire des amis belges.
Et bien je vois qu’on a commencé à investir presque en même temps et qu’on a à peu près le même âge.
Je ne connais pas le système fiscal belge en ce qui concerne les dividendes US. En suisse ça fait 30% dont la moitié qui est récupérable via la taxation annuelle.
Si effectivement tu perds la totalité des 42% ça me paraît beaucoup. A vérifier.
Je vais prochainement proposer une nouvelle stratégie d’investissement qui te permettra de t’affranchir un peu de cette problématique.
Plus d’infos bientôt.
Et sache qu’il n’est jamais trop tard pour commencer… il te faudra juste être un peu plus patient.Bonne bourse.
Salut Julien
Merci pour ton commentaire et tes compliments.
Cela fait plaisir de te lire car tu as la bonne vision des choses : tu commences suffisamment tôt, tu ne te précipites pas, tu épargnes suffisamment (sans non plus te priver de tout).
Tu me fais penser à moi il y a pas mal d’années en arrière. Tiens le cap, tu verras ça vaut la peine.
Pour les frais de ton broker : Swissquote est un bon intermédiaire. Dans une démarche d’investissement telle que celle axée sur les dividendes, les frais de transaction ne sont pas les plus importants. Méfie-toi surtout des frais de dépôt… à la longue lorsque ton portefeuille grandit, ça peut faire mal, d’autant qu’on peut devenir captif d’une banque/broker à cause de frais trop élevés de transfert de titres. Postfinance est actuellement pas mal (pas de frais de dépôt, beaucoup de services gratuits, frais de transaction raisonnables)… mais ils vont bientôt s’associer avec Swissquote, j’ignore donc si les choses vont demeurer identiques dans le futur…
Pour plus d’infos sur les brokers/banques,lis ce post
Sinon, si tu veux vraiment des frais limités au maximum, il te reste Interactive Brokers
C’est un broker fiable et vraiment très bon marché (1$ par ordre sur valeurs US jusqu’à 200 actions, 0.1% de la valeur de la transaction sur les valeurs suisses et européennes).je suis dans PAXN, WARN et INT (CS REF INTERSWISS)
toutes les positions ensemble, avec le nom de la société 🙂
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