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D’accord avec toi. Un studio dans une ville, particulièrement une grosse ville comme Genève, sera toujours loué.
Merci pour ta commande!
Je te suggère de lire mon ouvrage avant d’acheter tes actions. Il te fera sans doute voir les choses un peu différemment. Il est difficile de répondre simplement à ta question. Le marché actuellement est très haut, en particulier les grosses entreprises solides que tu recherches. Il est aussi délicat de se limiter à seulement cinq titres. Même une big cap au-dessus de tout soupçon peut réserver de très mauvaises surprises. J’en sais quelque chose. Pour un portefeuille jusqu’à 50’000 je conseille plutôt les ETFs. A partir de 50’000, je conseille de mixer ETFs et actions. Mais comme je l’ai dit, lis d’abord mon ouvrage. Cela deviendra plus clair.
Salut Caribou
cela fait toujours plaisir de lire des lecteurs québecois.
Bravo pour ton parcours. Tu as connu un départ chahuté et tu as su rebondir. Cela me rappelle aussi mon cursus effectivement, tant au niveau boursier, immobilier, professionnel ou privé.
Je suis aussi partisan de l’immobilier. Comme toi je possède plusieurs bien physiques. J’en ai aussi en ETF. J’accorde de plus en plus ma préférence à ce dernier moyen pour investir dans la pierre, car le physique n’est pas assez diversifié à mon goût. La gestion est aussi beaucoup plus lourde est compliquée, tant au niveau administratif, fiscal et légal. De plus, avec la profusion d’appartements neufs qui sont arrivés sur le marché, le taux de vacance augmente. Tu parles du Valais, je connais très bien ce marché. Il est saturé du point de vue de la location dans plusieurs villes. Se retrouver durant plusieurs mois sans revenu locatif, il y a franchement plus agréable comme expérience. Bref, je préfère les ETFs immobiliers, plus diversifiés et demandant nettement moins de job. Tu peux aussi t’en défaire en un clic de souris si nécessaire, contrairement à la pierre.
Concernant tes questions, tu trouveras des réponses détaillées dans le tutoriel, le forum et dans mon livre. En bref :
1) Oui bien sûr. Je te suggère Postfinance, Degiro ou Interactive Brokers.
2) Le rendement d’un titre n’est que la résultante des fondamentaux. C’est ceci qu’il faut examiner. Un rendement trop élevé est généralement mauvais signe. Un investissement boursier te ramène en moyenne 10% par an en nominal, 7% en réel.
3) oui, voir : https://www.dividendes.ch/?s=dividendes+exon%C3%A9r%C3%A9s et lire aussi les commentaires de ces trois articles
4) surtout pas
5) alors tu es au bon endroit, comme indiqué prends le temps de parcourir le site, il y a plus de dix ans de réflexions sur le sujet 😉
D’autant que ce n’est pas le meilleur moment pour acheter en masse. Le diable se cache dans les détails.
Frérot, j’espère que tu ne vas pas passer sous un camion, my God !
L’idée est bonne, notamment pour profiter de leur offre. Au niveau sécurité, je ne sais pas si ça amène vraiment un gros plus. Si tu te fais pirater ton PC et/ou réseau, tu te fais pirater les deux mots de passe. Et puis de toute façon, il y a l’authentification à deux facteurs, donc le risque lié à la sécurité est très faible.
Et d’un point de vue sécurité de l’institution financière, tu ne diversifies pas. En même temps, là aussi, le risque est très faible avec Postfinance.
Finalement le seul gros risque, avec ta solution, c’est que ta femme parte aux Caraïbes avec ton argent 🙂
Volontiers pour un petit topo en temps voulu frérot!
Hello frouzback,
merci pour ce courriel de pro éclairé ! Cela ne m’étonne même pas et j’ai toujours pensé que l’opacité de ces produits, comme trop souvent en finance, était faite pour enrichir ses émetteurs.
La finance n’a pas besoin d’être complexe pour fonctionner. Bien au contraire…
Salut frérot. J’ai à plusieurs reprises essayé de m’intéresser aux options par le passé. Plusieurs lecteurs, notamment Paul Marcel de Celtinvest, en parlait aussi par ici à l’époque (lui était plutôt orienté sur la vente d’options put). Apparemment certains ont de bons résultats avec ces stratégies.
Toutefois, autant je suis à l’aise avec les ratios financiers, autant le jargon et les concepts liés aux options me semblent venir d’une autre galaxie. J’ai besoin de comprendre les mécanismes d’un investissement avant de m’y mettre et de ce point de vue les options me semblent trop nébuleuses. Mais possible qu’un jour je change d’avis. Je l’ai bien fait pour l’or et le Bitcoin…
Ah voilà ! Ils ont bien bossé l’équipe !
Ils t’ont pas fait de correctif t’es sûr?
Cela dit je me demande parfois à quel point ils contrôlent (et comprennent).
Oui, IB ne retient que l’impôt étranger, pas l’impôt suisse. C’est donc un revenu qui sera taxé par le fisc suisse suite à la déclaration.
Normalement sur ton logiciel tu devrais pouvoir indiquer toi-même séparément la valeur de retenue d’impôt étranger et retenue d’impôt supplémentaire en Suisse (pour les titres américains).
Sur VSTAX par exemple les deux champs sont indépendants, il y a même une coche « dépôt suisse », si tu l’enlèves, la retenue USA devient grisée.
Très facile
tu vas sur le détail du formulaire DA-1
tu crées une ligne en indiquant ton numéro de compte IB
tu indiques sous total en frs la valeur totale que te donne le rapport sous Actif net
tu indiques sous rendement brut la valeur total dividendes en CHF que tu trouves sous Dividendes
tu indiques sous impôt étranger la valeur total retenue d’impôts en CHF que tu trouves sous Retenues d’impôts
et le tour est joué
J’ai contacté Will31, mais malheureusement aucune réponse pour l’instant. Dommage car il avait déjà bien entamé ses réflexions sur le sujet.
Après un petit plus d’un mois d’utilisation voilà déjà un premier bilan.
Les tarifs de courtage sont intéressants par rapport à ce qui se fait chez la plupart des banques et brokers, en particulier en Suisse. En revanche les frais sont quand même bien plus élevés que IB.
On y trouve certes passablement de small caps japonaises, mais pas toutes, contrairement à IB.
Après l’ouverture du compte, il n’est pas possible de trader immédiatement certaines valeurs, notamment les small caps japonaises. Il faut passer un certain nombre de tests pour montrer qu’on sait ce qu’on fait. Étonnant cette stigmatisation par rapport à ces titres… Sans doute un résidu de la parano de l’éclatement de la bulle japonaise en 1990… ? En même temps les questions ne sont pas trop compliquées.
Il y a des limitations et blocages un peu curieux par rapport à certains ordres. Par exemple, toujours sur des titres japonais, les ordres marchés sont limités à un certain nombre d’actions, parfois même une seule (même si le cours est petit). Certes, ce n’est pas catastrophique, puisqu’on peut passer par un ordre limite assez large, mais je ne vois pas le but de ces restrictions.
La plateforme elle-même est conviviale, intuitive et facile d’utilisation (bien plus que la plateforme web d’IB). Un bon point de ce côté-là. Je n’ai pas eu besoin d’installer l’application. Je ne peux donc me prononcer sur cette dernière.
En bref, pas mal, mais pas extraordinaire. Je préfère quand même nettement IB. Vu l’absence de certains titres, les tarifs un peu plus élevés et les restrictions un peu bizarres, pour l’instant je n’ai actuellement qu’une position et je ne pense pas que mon portefeuille chez Degiro prendra une grosse ampleur dans un avenir proche, en tout cas pas pour les titres nippons. Cela pourrait changer si les marchés helvétiques et américains redeviennent cependant un jour bon marché.
Salut
Cela sort de mon domaine de compétences mais tu peux déjà lire ce post d’un lecteur qui suit une voie similaire à la tienne. Je vais essayer de le contacter par rapport à ton sujet. Le cas échéant il aura peut être quelques pistes…
T’as bien fait. J’avais lu aussi ton autre article mais pas eu le temps d’y répondre sorry.
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